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Secteur Quai Léon Chausson

 

 

 

Origine de l'A2J :

 

Voici un exemple concret des conséquences d’une mauvaise communication :

Informés par des voisins d’une réunion organisée par la municipalité pour présenter aux riverains directs, seuls invités d’un faible périmètre autour du projet de construction de logements Avenue de Paris/quai Léon Chausson, des Juziérois de tous les quartiers alentours se sont finalement déplacés pour faire part de leur inquiétude.

Pour se faire entendre, les riverains du projet avait même dû déposer un recours en justice après qu’un premier recours à l’amiable adressé à la mairie soit malheureusement resté sans réponse.

 

Nous étions devant un fait accompli : un permis de construire avait été accordé sans une vraie concertation des riverains concernés alors que l’ampleur de ce projet de logements allait modifier de façon considérable l’environnement et la vie de tous les jours de toute une zone de notre commune.

 

L’A2J est née pour dire : « plus jamais cela » !

 

 

Réunion publique du 11/04/2014 projet quai Léon Chausson

 

Note du président: Cette réunion a eu lieu avant l'enregistrement de votre association A2J mais nous pensons justifié de vous présenter notre compte rendu, en effet, c'est aussi grace aux nombreux tracts (environ 500) distribués par une partie des membres de l'association J'aime Juziers que la fréquentation à cette réunion publique a été remarquable. Il faut préciser que effectivement la mairie avait envoyé une lettre d'information à ...50 foyers en 2013, sans surprise, il n'y eu qu'une petite dizaine de présents.

 

 

 

REUNION PUBLIQUE DU 11/04/2014 :

 

Construction de 31 logements collectifs et de 3 maisons individuelles, à l’angle du quai Léon Chausson et de la rue des Graviers.

 

Etaient présents : M. le Maire, des adjoints et des Juziérois venant de tous les quartiers de la ville.

Le promoteur étant absent, M. le Maire doit projeter un plan non actualisé du projet. Les riverains s’indignent de ce plan erroné qui ne montre pas le pignon de 12 m de haut prévu sur ce bâtiment de 3 étages !

 

Un juziérois, au nom de la mixité sociale, interpelle M. le Maire sur cette frénésie de logements sociaux, tous regroupés dans le même secteur :   32 logements ont déjà été construits avenue Jean Marion et 35 logements locatifs sociaux sont en cours de construction rue de la République !

M. le Maire rappelle la loi SRU, renforcée par la loi Duflot, qui oblige les communes à construire 25 % de logements sociaux, justifiant ainsi qu’il faille densifier la quantité de logements dans les constructions :     il devient difficile de trouver des terrains à vendre sur JUZIERS alors qu’il manque encore environ 370 logements sociaux à ce jour.

 

Un juziérois demande le montant de l’amende versée par foyer fiscal en cas de non-respect de ces lois ; M. le Maire ne l’a jamais calculé mais annonce un montant de l’ordre de 360 000 € sur les dix dernières années.

 

Un juziérois demande si la station d’épuration est en capacité de gérer toutes ces nouvelles habitations. M. le Maire informe qu’un recours contentieux ayant été déposé contre ce projet de logements, aucune information concernant les points du recours ne sera donnée en réunion.

 

Un requérant précise qu’un recours amiable avait d’abord été déposé mais, en l’absence de réponse de la mairie, un recours contentieux a dû être fait pour arrêter les travaux imminents prévus.

 

Les riverains demandent que le projet soit revu, malgré l’accord donné au permis de construire le 08/10/2013, sans consultation des riverains mis devant le fait accompli. Ils demandent une révision de la hauteur et de la taille du bâtiment afin de réduire l’impact sur l’environnement, davantage de parkings et des sorties de voitures sécurisées sur les rues.

 

Une juziéroise demande à M. le Maire s’il envisage de modifier le PLU pour ne plus laisser la possibilité de construire des bâtiments de 12 m de hauteur sur JUZIERS. M. le Maire répond par la négative.

 

L’assemblée se sépare sans garantie d’une nouvelle réunion publique.

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